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1617. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Chapitre II. Axiomes » pp. 24-74

Dès que notre intelligence est éveillée par l’admiration, quel que soit l’effet extraordinaire que nous observions, comète, parélie, ou toute autre chose, la curiosité, fille de l’ignorance et mère de la science, nous porte à demander : Que signifie ce phénomène ?

1618. (1864) Histoire anecdotique de l’ancien théâtre en France. Tome I pp. 3-343

Un père et une mère marient leur fils unique et lui abandonnent tous leurs biens. […] Une main qui nous fut chère… Madame, est-ce la vôtre ou celle de ma mère ? […] Va chez les scélérats, les ennemis des Dieux, Chez ces monstres cruels, assassins de leurs mères, Ceux qui se sont souillés d’incestes, d’adultères ; Ceux-là te recevront. […] Sa mère, se prêtant aux fantaisies de son enfant, fit construire un petit théâtre ; les rôles furent distribués par Lagrange à six de ses jeunes camarades et la représentation eut lieu. […] Cette pièce a cela de remarquable qu’elle fait époque, attendu qu’elle est la mère de toutes celles à scènes épisodiques ou à tiroir dont on a depuis usé et abusé d’une manière si fâcheuse.

1619. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

. — Le Génie du Christianisme naquit, selon Chateaubriand, de la lettre que lui adressa, avant de mourir, Madame de Farcy, sa sœur, pour lui apprendre la mort de sa mère ; et M.  […] Mais nous sommes sur l’Acropole… Et Boileau eût évoqué fâcheusement les descriptions du Moïse sauvé, et l’enfant qui pendant le passage de la mer Rouge ramasse des coquillages pour les montrer à sa mère. […] Remarquez d’ailleurs que la comédie attique est pénétrée d’une tendresse et d’une humanité que ne connaît plus la farce italienne et moliéresque, que les amours du jeune homme ne peuvent, de par les mœurs antiques, troubler un foyer, et vont à une esclave ; en cette esclave ce n’est pas seulement la reconnaissance du dénouement, mais l’art délicat du poète qui fait éclore la femme libre et la future mère de famille. […] Notre estime va à l’oncle célibataire comme Cléante et Ariste, à la servante comme Dorine, à la mère comme Mme Jourdain, à la belle-mère comme Elmire, — enfin aux jeunes gens toujours. […] Ils ont tiré sur la mère grand.

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