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1206. (1892) Un Hollandais à Paris en 1891 pp. -305

Le sentiment du devoir nous apparaît comme un fruit, qui croît et mûrit d’après ses propres lois. […] Car le poète sent vivement le besoin d’une loi et même d’une loi sévère ; mais il ne veut pas se laisser forcer la main par elle, il veut l’accepter librement. […] Il n’y a pas d’opposition pour lui entre la loi et la nature de l’homme ; l’une aide l’autre, mais la nature doit toujours aller devant. […] Il ne comprend rien à notre société qui donne droit de préséance aux lois, et qui ne connaît point d’autre liberté que celle acquise par l’observation de ces lois. […] C’est la dure loi qui lie indissolublement l’amour à la mort, tant dans le monde physique que dans le monde moral.

1207. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « [Appendice] » pp. 417-422

Je rendois le sort déplorable De ceux qui vivoient sous ma loi, Et dès qu’ils se donnoient à moi.

1208. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLV » pp. 176-182

C'est la famille de Janin qui l’a décidé à se couvrir, une bonne fois, de la protection de la loi contre de telles attaques.

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