Quelques-uns ont eu une merveilleuse imagination ; il y a peu de choses plus poétiques dans la littérature grecque que les mythes de Platon.
Ils causaient de littérature ou discutaient des questions d’art, mais ne soufflaient mot de la pièce qu’on représentait : ils savaient bien que, même sans se rien dire, ils ne seraient que trop du même avis.
La Grèce a eu son « Rococo » et son « Pompadour » Sa littérature, transportée d’Athènes à Alexandrie, y fut prise du mauvais goût asiatique. […] Cette pénurie presque fabuleuse produisit une littérature toute spéciale.