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1541. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XII. Des panégyriques ou éloges des princes vivants. »

Pour suivre notre plan, nous allons tâcher de les faire connaître, indiquant rapidement et le nom des écrivains et le caractère des ouvrages ; c’est une branche de littérature qui mérite son coin dans l’histoire philosophique des hommes.

1542. (1927) Approximations. Deuxième série

Objet de l’éternel regret d’un Nietzsche, c’est elle qui rend compte avant tout de l’admiration qu’il n’était jamais las de proclamer pour notre littérature. […] Toute l’attention, tout le bavardage, toute la littérature, toute l’éducation sont tournés vers le mélange des deux qui, comme tant de métis, a de la séduction et les vices superposés de ses deux parentsfk ». […] Dans notre seule littérature peut-être, si parfait est souvent le rendu des surfaces qu’une profondeur y luit au passage : elle compte par ailleurs quelques-uns de ces hommes qui se fixent une fois pour toutes dans les sous-sols. […] Quelle que soit la tâche qu’il entreprenne, nous sommes certains qu’il saura demeurer fidèle à la formule toujours valable que Taine avait reprise à Goethe, et dans laquelle il voyait en 1863 la matière de la littérature prochaine : « . […] NdE] et qui, dans les dimensions prescrites par la série, traite de la littérature française depuis les origines jusqu’à Baudelaire inclusivement : petit volume accompli où la sûreté de la mise en place et l’impartialité des jugements n’excluent jamais des vues et un tour personnels.

1543. (1859) Moralistes des seizième et dix-septième siècles

Il intitula ces nouveaux entretiens : De la morale dans la littérature. […] La littérature, Messieurs, est un ensemble de faits très complexes. […] Mais convenons-en, le témoignage de l’histoire n’a pas la naïveté de celui de la littérature. […] Quant à la littérature proprement dite, elle pantagruélise. […] L’époque à laquelle nous arrivons voit naître des changements simultanés dans la politique, la philosophie, la littérature.

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