Lire à ce sujet Duhamel, ibid.
Inversement, s’il me prend fantaisie de lire de la prose et que je tombe sur un volume de vers, je m’écrierai : « ce n’est pas de la prose », traduisant ainsi les données de ma perception, qui me montre des vers, dans la langue de mon attente et de mon attention, qui sont fixées sur l’idée de prose et ne veulent entendre parler que d’elle.
C’est donc supposer, au fond, que tout est donné, que l’avenir pourrait se lire dans le présent.