On y sent le tact parfait d’un homme qui n’écrit pas pour être lu, mais pour profiter aux familles.
La première fois que j’ai lu Crime d’amour, je m’étais mépris.
Au contraire, le livre une fois lu, le tableau dûment examiné, le bas-relief compris, ne contiennent plus d’énigme ; ils ne nous laissent plus songer et sont désormais pour nous l’image connue d’une idée connue.