ERRATA — Du dernier numéro de la Revue Wagnérienne (IV, mai 1886), quelques fautes à corriger dans les « notes sur la Peinture Wagnérienne » : page 103  3e ligne  lire : touffes      au lieu de : souffles id    25    à l’homme noir      à l’homme de voir ; 105  10      Dehodencq      Dehodeucq id    18      à son tour      à leur tour 110  18      rêche        riche id    24      poignante      prévoyante 113  1      intéressantes donc,    intéressantes, donc           intéressantes      intéressantes L’œuvre de Bayreuth — 1871-1876 Les lettres et les documents que nous allons analyser ont été réunis par le baron Hans de Wolzogen et publiés par lui dans les Bayreuther Blaeter (1886, janvier). […] Chaque vers représente une ligne de prose ; pour une ligne de prose de vingt mots, un court vers, quelques syllabes, un mot-sommet autour duquel rayonne le très strict minimum des menus mots nécessaires à la phrase. « Erlæsung dem Erlosser. » chantent les élus du Gral. « Voici (par Parsifal) le Salut du Sauveur (le Gral). » Et c’est la conclusion de l’œuvre, cette dernière formule, la plus concise, du drame qui est le dernier achèvement de l’idée Wagnérienne. […] … Je ne reviendrai pas sur la définition que j’ai autrefois essayée, en ces quelques lignes d’avant-propos, d’une traduction rhythmique littérale. […] Les signes de l’art plastique avaient été les sensations visuelles de certaines lignes ou couleurs : la Littérature, art des notions, eut pour signes les mots, sensations d’abord auditives, devenues ensuite visuelles, à leur tour, sous l’usage de l’écriture.

Dimanche 27 février Aujourd’hui Rodenbach parle ingénieusement de la page imprimée du livre, qui, avec les combinaisons des interlignes, des à la ligne, des capitales, des italiques, etc., etc., est arrivée à l’arrangement artistique et, comme il le dit, à l’orchestration de l’affiche. […] Le jour tombé, il ne lisait pas, aux lumières, une ligne d’un journal, une ligne même d’une lettre : il la mettait dans sa poche, disant qu’il la lirait le lendemain. […] Je suis parvenu, en guidant l’ébauchoir du sculpteur, à affiner la grosse et large matérialité qu’il avait donnée à sa figure, à resserrer le bas du visage, où il y avait une si jolie et si petite touche, ce bas du visage que tous les dessinateurs ont allongé au détriment du haut de la tête ; je suis parvenu à lui refaire la ligne du nez tout à fait juste. […] » Et voici que, ce matin, d’un interview avec Berthelot, l’ami intime de Renan, il résulte pour les gens qui savent lire entre les lignes, que je n’ai pas menti tant que cela.

Alfred Capus n’est point astreint à parler d’un seul sujet en un nombre de lignes fixé d’avance, conditions que l’on considère comme essentielles à la vraie chronique, et qui en sont la négation même. […] Citons encore quelques lignes, pour que l’on sache bien que, si M.  […] La carte qu’il tracera ainsi ne comportera que des lignes infiniment ramifiées, semblables à ces figures du système nerveux que l’on voit dans les ouvrages d’anatomie. […] Le sujet du livre tient en quelques lignes, mais qui, de l’arc-en-ciel de l’amour, suffisent à fixer une nuance. […] Elle tient en trente lignes, que je voudrais citer ici.