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1850. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome II pp. 5-461

Mais, puisqu’il est vrai qu’une bonne théorie ne peut être assez éclaircie en quelques lignes, et que des axiomes principaux n’en font pas pénétrer les particularités instructives, ne négligeons pas d’entrer dans les détails, et développons les bons documents, sans craindre que leur multiplicité n’embarrasse les esprits attentifs et fermes, que rien d’utile ne surcharge, et qui seuls sont capables de profiter de tout.

1851. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome I

Ce petit nombre de lignes offre autant d’inexactitudes que de mots. […] L’esprit romanesque et chevaleresque est le caractère distinctif de notre poésie dramatique ; c’est la ligne de démarcation qui sépare le théâtre français du théâtre grec, et même de tous les autres théâtres.

1852. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome II

C’est à peu près ce que Pierre Corneille disait à un vieillard qui me l’a raconté : Cela est tendre, touchant, bien écrit ; mais c’est toujours un Français qui parle. » Il est difficile de renfermer en moins de lignes plus d’erreurs, plus d’artifice et de mauvaise foi : Voltaire lui-même convient, dans une autre lettre, qu’un vers détaché peut paraître faible, tandis qu’il produit un très bon effet dans le morceau où il se trouve placé ; il dit à M. 

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