Elle est d’avis qu’il achète sa liberté à tout prix, qu’il revienne à n’importe quelles conditions ; car le marché ne peut être mauvais, pourvu qu’on le revoie en France, et ne peut être bon, lui étant à Madrid. […] Il est très vrai que Marguerite, ouverte à tous les sentiments littéraires et généreux de son temps, se comporta comme une personne qui, aux abords de 89, aurait favorisé de toutes ses forces la liberté, sans vouloir ni prévoir la Révolution.
Il écrira des hymnes à la Liberté, à l’Esprit, à Florence. […] un autre Hymne à la Liberté et à M.
— Êtes-vous heureux, diront-ils ; vous avez la paix, une vue délicieuse, des excursions, une liberté, une vie à bon marché ! […] Non, non, avec tout le respect que je dois au génie de vos lettres, je vous déclare que vous n’aimiez pas vos bois, que vous n’aviez qu’une tendresse bien vague pour un objet si vaguement décrit, et que vous ne goûtiez parmi eux que la liberté de vos pensées de femme et de vos regrets de Parisienne.