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159. (1925) La fin de l’art

Les professeurs, malgré leur zèle, sont obligés de constater la faiblesse croissante des études latines. L’air n’est plus favorable au latin. […] On ne veut plus de latin, pourquoi l’enseigner de force ? […] Les uns tiennent pour le latin prononcé à l’allemande, d’autres pour le latin prononcé à la romaine et les plus savants, enfin, pour la prononciation cicéronienne. […] Cette façon détournée des vendeurs de latin à donner raison aux espérantistes n’est-elle pas ingénieuse ?

160. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 88-90

Personne n’entendoit mieux le Grec & le Latin. Ses Traductions de l’Iliade & de l’Odissée, des Poésies d’Anacréon & de Sapho, du Plutus & des Nuées d’Aristophane, de l’Amphitrion, de l’Epidicus, du Rudens de Plaute, de toutes les Comédies qui nous restent de Térence ; ses Commentaires sur plusieurs Auteurs Grecs & Latins, établiroient solidement la réputation d’un docte & excellent Ecrivain ; à plus forte raison doivent-ils immortaliser une femme qui a rendu de si grands services à la Littérature.

161. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 235-237

Ses Ecrits sur la Grammaire Françoise & Latine conviennent également aux Maîtres & aux Disciples ; les derniers y apprennent les élémens du langage, & les premiers la maniere de les développer. […] La Méthode raisonnée pour apprendre la Langue Latine, pour n’être pas aussi estimable que ce Traité, ne fait pas moins d’honneur au génie analytique de M.

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