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1893. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Il y a quelques jours à peine, nous avions à juger la Vieillesse de Louis XIV, et nous nous affligions de la légèreté avec laquelle deux écrivains français avaient traité l’une des figures les plus importantes de notre histoire ; aujourd’hui nous avons à nous prononcer sur une pièce où Louis XIV joue le premier rôle, composée parmi nous, à Paris même, mais par un écrivain anglais, dont les romans sont fort à la mode, par M. 

1894. (1900) La vie et les livres. Cinquième série pp. 1-352

Il aimait, « après l’Agnus, l’accolade évangélique tournant et retournant dos à dos ou nez à nez les séminaristes rangés en longue file dans les stalles du chœur, et au saint nom de Jésus, les barrettes noires sautant en l’air l’une après l’autre, comme une bande d’étourneaux dans un pré » !

1895. (1895) Le mal d’écrire et le roman contemporain

C’est ainsi que la tendresse succède à l’indifférence et que l’une engendre l’autre. […] Il n’est pas rigoureusement démontré qu’il y ait deux genres de littérature, l’une spiritualiste et chaste, l’autre positive et brutale.

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