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796. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Monsieur Bazin. » pp. 464-485

Ce serait une peinture à faire que celle des journaux politiques de la Restauration, et surtout des trois principaux : le Journal des débats, organe du royalisme selon Chateaubriand, et suivant celui-ci en toutes ses métamorphoses ; Le Constitutionnel d’alors, centre du libéralisme pur ; et La Quotidienne.

797. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Paul-Louis Courier. — II. (Suite et fin.) » pp. 341-361

Il adressa en ce temps une suite de lettres au journal Le Censeur (juillet 1819-avril 1820). […] Valmy-Bouic, alors substitut au tribunal de Tours), en constatant qu’il était percé de plusieurs balles, retira une partie de la bourre qui était restée dans les blessures ; ce papier, développé et examiné, se trouva être le morceau d’un journal que recevait Courier.

798. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Monsieur Arnault, de l’Institut. » pp. 496-517

Accueilli en Belgique avec une hospitalité cordiale, il y écrivit des articles de journaux vifs, mordants, satiriques, qui étaient, dans la presse libérale, le pendant de ce que Michaud faisait ailleurs dans la presse royaliste. Il contribua aux journaux de Bruxelles, comme plus tard, après sa rentrée en France, au Miroir, et distribua des coups de lancette en s’amusant.

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