L’impérialiste didactique qui sommeille au cœur de tout écrivain s’en donne à cœur joie.
Eux, les civilisés, ils sont tout en nerfs et en cerveau ; et leur joie unique, la seule qui leur semble avoir du prix, est de savoir.
Organes de l’opinion, car les lettres sont aussi la voix du peuple, votre joie et votre reconnaissance ne sont-elles pas d’autant plus vives que quelque tristesse et quelque crainte avaient pu auparavant se laisser entrevoir à travers votre respectueuse réserve ?