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395. (1936) Réflexions sur la littérature « 1. Une thèse sur le symbolisme » pp. 7-17

De Régnier pour multiplier en une nature, en un jeu indéfini d’illusions, cette essence mallarméenne. […] La syntaxe de Mallarmé est un jeu tout personnel au poète, qui ne comportait aucune influence, aucune action.

396. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre premier. Rapports de l’invention et de la disposition »

L’attention distinguera donc les diverses opérations qui s’unissent dans le jeu spontané des énergies naturelles.

397. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 115-120

Une lampe d’une main, un poignard de l’autre, une femme toujours prête à être égorgée, & qui, par un quart de conversion, ne l’est pas, ont paru, à des yeux avides de spectacle, un jeu d’optique qu’on pouvoit supporter quelquefois ; mais les gens de goût savent combien cette pantomime est peu propre à intéresser, ou plutôt combien elle prouve la sécheresse d’un esprit qui a eu besoin de recourir à de si minces ressorts.

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