De Régnier pour multiplier en une nature, en un jeu indéfini d’illusions, cette essence mallarméenne. […] La syntaxe de Mallarmé est un jeu tout personnel au poète, qui ne comportait aucune influence, aucune action.
L’attention distinguera donc les diverses opérations qui s’unissent dans le jeu spontané des énergies naturelles.
Une lampe d’une main, un poignard de l’autre, une femme toujours prête à être égorgée, & qui, par un quart de conversion, ne l’est pas, ont paru, à des yeux avides de spectacle, un jeu d’optique qu’on pouvoit supporter quelquefois ; mais les gens de goût savent combien cette pantomime est peu propre à intéresser, ou plutôt combien elle prouve la sécheresse d’un esprit qui a eu besoin de recourir à de si minces ressorts.