Et il n’y a probablement au monde que Victor Hugo qui puisse se permettre la haute impertinence de jeter au nez du public le premier tome d’un ouvrage qui doit en avoir encore trois ! […] Malgré le désir très marqué, quand elle parut, de se jeter à genoux devant cette œuvre inconnue et nouvelle, on est resté debout, et même assis… Il a manqué bien des tambours dans cette batterie aux champs… Il est vrai que l’Empereur n’était pas sorti ! […] et voilà même pourquoi l’art dramatique est, au fond, un art si inférieur, malgré l’éclat qu’il jette.
C’est à qui, maintenant, dans un certain parti, jettera la plus lourde pierre à ce pauvre et illustre cercueil. […] Son vieux sang noble se réveille et il se jette à corps perdu dans les intrigues royalistes. […] Il les a jetées au feu. […] Je jette en passant cette réflexion, que nous aurons plus tard l’occasion de reprendre et d’appliquer dans l’examen du poème de La Justice. […] Elle aurait jeté toute son âme dans un cri d’ivresse.
Dans la tragédie française on peut jeter le mouchoir et étrangler avec le mouchoir ; mais on ne le nomme pas. […] Pourrait-elle jeter en mon cœur l’épouvante ? […] C’est à persuader à un auteur de se jeter par la fenêtre ! […] « Et dans tous les romans où j’ai jeté les yeux… », dit-elle. […] On jettera au peuple, du haut des murs du temple, le nom du nouveau roi, quand, la reine morte, il n’aura plus le choix de la servitude.