Nous avons souligné cette dernière phrase parce qu’elle est une preuve de l’instinct improvisateur qui faisait deviner à Geoffroy les choses même qu’il n’avait jamais vues : qu’aurait dit le rédacteur des feuilletons s’il eût resté quelque temps en Italie ? […] Ils se font un trophée de ce qui rabaisse leur conquête, c’est-à-dire de la faiblesse et de la folie d’une femme ; ils triomphent de ce délire des sens, de cet instinct grossier qui souvent humilie la raison, et qui toujours prépare les infidélités.
Peinture au cruel dessin de la tête, au solide noir et au beau fauve de la plume hérissée, et comme soulevée par l’instinct carnassier.
Jamais Molière, le fléau des ridicules, ne leur porta des coups plus sûrs, et nous pouvons nous écrier avec le vieillard qui, par instinct, devina notre auteur : Courage, courage !