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1887. (1928) Quelques témoignages : hommes et idées. Tome II

C’est l’erreur qui, trop souvent répétée, donne par instants aux romans de cet admirable prosateur qu’était Flaubert, un caractère de nature morte.

1888. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre III. L’Âge moderne (1801-1875) » pp. 388-524

Pas un instant Thiers ne suppose que, dans le récit qu’il donne de la bataille de Marengo, ce soit à lui, Thiers, que l’on s’intéresse, ni Tocqueville ne se complaît dans l’étalage de soi-même, quand il essaie de démêler l’avenir de la démocratie.

1889. (1896) Hokousaï. L’art japonais au XVIIIe siècle pp. 5-298

Préface L’Écho de Paris publiait, sous ma signature, le 7 juin 1892, cet article. La vie littéraire, en ses duretés, a parfois d’aimables surprises, mais au bout de bien des années. Cet hiver, je recevais cette lettre du Japon : Yokohama (Hôpital général). Monsieur, Voulez-vous permettre à un jeune Français de vous exprimer tout le plaisir que lui a causé Outamaro, mieux placé que tout autre pour le comprendre puisque je suis au milieu des Japonais… J’avais quinze ans quand j’ai lu Sœur Philomène et j’ai voulu être interne, et je suis médecin… La Maison d’un Artiste m’a fait venir au Japon. En un mot, comme cette étoile qui guide le marin, ignorante elle-même des destins qu’elle mène, vous avez eu une influence dominatrice sur toute ma vie.

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