L’Institut royal de France avait proposé pour sujet du prix qu’il devait adjuger en 1825, « d’examiner si l’absence de toute écriture, ou l’usage soit de l’écriture hiéroglyphique ou idéographique, soit de l’écriture alphabétique ou phonographique, ont eu quelque influence sur la formation du langage chez les nations qui ont fait usage de l’un ou de l’autre genre d’écriture, ou qui ont existé longtemps sans avoir aucune connaissance de l’art d’écrire ; et, dans le cas où cette question paraîtrait devoir être décidée affirmativement, de déterminer en quoi a consisté cette influence ».
Au risque de compromettre le Dei gesta per Francos, nous crûmes un moment, tant l’influence de certains mots est puissante ! […] On ne saurait trop le répéter, l’Armée, et l’Armée seule, nous a arrachés aux lâches influences que nous retrouvions partout autour de nous.
Ce qu’il voit, en effet, dans la littérature, c’est particulièrement l’influence politique qu’elle exerce ou qu’elle peut exercer. […] Indépendamment de son influence politique, madame Beecher-Stowe est une femme, et il faut émanciper la femme comme le noir !