En d’autres termes, il imagina un système à mille facettes, capable de contenter tous les goûts, sans compromettre personne. […] Malgré la rudesse républicaine dont le théâtre de la Révolution chercha à s’inspirer, malgré le grandiose des spectacles populaires que la Convention donnait au peuple de Paris, on n’eut pas l’idée de réformer le théâtre, de rejeter les vieilles formes décrépites de la tragédie, ou même de continuer sur la scène moderne le nouveau drame imaginé par Sedaine, Diderot et Beaumarchais.
Je connais à peu près tous les portraits de Balzac, ceux que l’on a faits de lui de son vivant, ceux que l’on a imaginés d’après son génie, mais aucun ne m’a produit la même impression que cet humble daguerréotype du petit musée de la rue Raynouard.
J’avais un moment imaginé de le faire jouer au billard.