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975. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le comte de Fersen et la cour de France »

Rarement plus d’idéale délicatesse ne s’est trouvée en face de plus d’ignominies.

976. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Vauvenargues » pp. 185-198

Le René de Chateaubriand, qui fut Chateaubriand lui-même, était un Argan idéal et tragique ; mais Vauvenargues, ni au physique ni au moral, n’était un malade imaginaire.

977. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XVI. M. E. Forgues. Correspondance de Nelson, chez Charpentier » pp. 341-353

La spontanéité du cœur qu’il avait, cet être délicat, fragile, idéal, religieux, qui tenait si peu de place dans l’espace et qui en tiendra une si grande dans le temps, et qui placidement accomplit, hélas !

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