… Ô temps heureux où le parterre était composé presque en entier d’une jeunesse passionnée et studieuse, dont la mémoire était ornée d’avance de tous les beaux vers de Racine et de Voltaire ; d’une jeunesse qui ne se rendait au théâtre que pour y compléter le charme de ses lectures !
Charles Fuster L’auteur ne se plaindra pas longtemps : il a du talent, un talent délicat, au charme communicatif ; c’est ce qu’il faut pour être heureux.
Heureux M. […] Heureuse légèreté qu’il est si difficile d’acquérir et si aisé de perdre ! […] L’heureux M. […] Que fallait-il de plus pour être heureux et à peu près sûr de le rester toujours ? […] Il s’y rattacha constamment par l’heureuse délicatesse de son goût.