Les héros et les héroïnes de nos romans de chevalerie sont bons catholiques. […] Et ce n’est pas pour rien qu’est née cette expression « héros » ou « héroïne » de roman. […] Cela fit qu’on oublia, qu’on voulut oublier bien vite les héros qui avaient conté cette guerre de façon héroïque. […] » il y fait ajouter par un de ces héros malgré eux ce mot : « Alors, il y aura toujours des guerres ! […] C’est une exception dans la littérature moderne ; dans ces mémoires romancés, ou ce roman mémoiré, Proust crée un héros.
« Elle est non pas le héros, mais le portrait du héros. » Avant qu’il y ait de l’histoire ou un poème à enregistrer, il faut que des faits se soient accomplis. […] On y trouve bien des héros, outre Wainamoinen. […] Crawford devrait rendre les merveilleux héros de Suomi aussi familiers, sinon plus chers à notre peuple, que les héros de la grande épopée ionienne. […] Elle croit encore aux héros et aux héroïnes. […] On n’est plus mis dedans, et quand il s’en faut de l’épaisseur d’un cheveu que le héros ne périsse, quand l’héroïne est dans les transes les plus angoissantes, cela vous laisse parfaitement froid.
Édouard Fournier Le marquis de Belloy a fait une comédie charmante : Pythias et Damon ; or, le comte Ferdinand de Gramont et lui furent deux amis comme l’étaient les héros de la pièce.