Les chœurs d’Œdipe lus à Colone ; et ceux d’Ion à Delphes ; les odes de Pindare étudiées en présence des lieux célébrés ; un grand historien suivi pied à pied sur le théâtre des guerres qu’il raconte ; l’Arcadie parcourue, Xénophon en main, à la suite d’Épaminondas victorieux, ce seraient là des études parlantes qui résoudraient, j’en réponds, plus d’une difficulté géographique ou autre, née dans le cabinet.
Ils sont certainement pleins de chaleur et de lumière, et tout à fait inspirés du sujet qui faisait alors la préoccupation des plus grands poètes et artistes : la guerre de l’indépendance grecque.
Voilà l’affreux chemin du trône, ce pavage De meurtre, de fureur, de guerre, d’esclavage ; L’homme-troupeau !