Il se plaît à raconter les stratagèmes, les ruses de diplomatie ou de guerre qu’il lui faut employer pour cela. […] Il évitait avec soin les querelles et le bruit ; on le voit conseiller à Walpole, en un certain cas, de ne pas fournir le moindre prétexte de guerre à Voltaire.
Pour cette raison, il n’a pas et ne pouvait pas avoir, comme historien, le sentiment impersonnel et éternel des choses qui donne à l’Histoire sa majesté, même sous la plume d’un petit écrivain grec (græculi) qui écrit la guerre de ce petit pays qu’on appelle le Péloponèse. […] Nommé, quand il revint, par Lord Melbourne, secrétaire de la guerre, de 1839 à 1841, il fut institué par Lord Russell quartier-maître général de l’armée et recteur de l’Université de Glasgow.
J'ai sous les yeux le livre de Lamennais intitulé : Les Amschaspands et les Darvands : ce sont les bons et les mauvais Génies qui se livrent la guerre en ce bas monde sous le regard d’Ormuzd et d’Ahriman, les deux puissances rivales.