/ 1770
9. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre IV. De la philosophie et de l’éloquence des Grecs » pp. 120-134

Les philosophes grecs sont, pour la plupart, des orateurs éloquents sur des idées abstraites. […] Les Grecs se sont livrés avec folie à la recherche des différents systèmes du monde. […] L’éloquence philosophique des Grecs fait encore effet sur nous, par la noblesse et la pureté du langage. […] Enfin les Grecs, tout étonnants qu’ils sont, laissent peu de regrets. […] Thucydide est certainement le plus distingué des historiens grecs.

10. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre XIV. »

Tout est romain par l’allusion présente, mais tout est grec par le souvenir. […] Des décemvirs sacrifieront les victimes, selon le rite des Grecs. […] Cette rudesse cependant devait s’adoucir, cette simplicité se rapprocher chaque jour davantage de l’élégance des modèles grecs. […] Son imitation des Grecs ne devint-elle pas quelquefois plus hardie, en étant plus fidèle ? […] ô Grecs frivoles, oublieux des bienfaits !

11. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 79-87

Il le trouve occupé au Grec, à la vérité, mais à du Grec à côté duquel étoit une mauvaise Traduction. […] Larcher nous parlons de Grec. […] Ce n’est pas du méchant François, c’est du Grec qu’on vous demande. […] Ceci est encore du François, & non du Grec, ajouta le Député. Mais puisque vous ne voulez pas répondre sur le Grec, voyons sur les Auteurs.

/ 1770