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506. (1903) Légendes du Moyen Âge pp. -291

D’où provient cette différence, puisque le conte fait partie d’une traduction du roman grec ? […] Au lieu d’ἰξευτἠς le manuscrit grec suivi par le traducteur latin portait sans doute τοξευτἠς, qu’il a rendu par « sagittarius ». […] J’ai émis autrefois l’hypothèse que le grec pourrait bien au contraire être traduit du syriaque, auquel l’arabe remonterait aussi directement. […] Si on admettait (voy. ci-dessus, p. 229, n. 1) que le roman grec, au lieu d’être la source du syriaque (d’où provient l’arabe et par lui l’hébreu), est au contraire lui-même fait d’après un roman syriaque (qui viendrait directement du sanscrit par l’intermédiaire du pehlvi), les choses s’expliqueraient mieux : ce serait le traducteur grec qui aurait altéré la forme originale. […] Il faut remarquer l’accord de cette version, seule entre toutes, avec le texte grec de Boissonade (voy. ci-dessus, p. 227, n. 2).

507. (1888) Petit glossaire pour servir à l’intelligence des auteurs décadents et symbolistes « Abréviations »

Grec g.

508. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Aubé, Edmond »

Charles Fuster Des ressouvenirs latins et grecs, très sobrement et artistement mis en œuvre.

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