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1379. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou Le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (1re partie) » pp. 305-364

« Il sera rejeté comme ce noir génie « Effrayant par sa gloire et par son agonie, « Qui tomba jeune encor, dont ce siècle est rempli. […] gloire, plaisirs, biens, tout est vanité ! […] Tu le sais, pour mon cœur, ami de toute gloire, Les triomphes d’autrui ne sont pas un affront.

1380. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XIV. La littérature et la science » pp. 336-362

Ce fut et c’est encore une des gloires de la littérature française d’être la grande vulgarisatrice. […] Non, les hommes de science se font hommes de lettres pour répandre leurs idées, pour les rendre accessibles, aimables, attrayantes ; et les hommes de lettres, à leur tour, se laissant tenter par la gloire du physicien ou du naturaliste, poussent des pointes dans un domaine qui trop souvent leur est étranger. […] Serait-ce parce que leur gloire n’est pas rouge du sang d’autrui, parce qu’au lieu de coûter des larmes à l’humanité elle rayonne, sur elle en bienfaisante lumière ?

1381. (1904) En méthode à l’œuvre

Pour quoi sous nos timbres-vocaux, nous avons inscrit les nuances distinctes qui correspondent le plus généralement à leurs séries, déroulant ainsi, selon les hauteurs en l’onde sonore, qu’une gloire du spectre solaire. […] Domination, gloire. […] Tumultes, gloires, ovation.

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