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570. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XV. M. Dargaud » pp. 323-339

Il est des gens (et ce sont ceux-là qui trouvaient que le livre de M. Dargaud en avait trop), il est des gens qu’un tel mot ferait cabrer, si, pour se cabrer, il ne fallait pas de l’imagination et… des jarrets. […] … Pour ma part, je me défie beaucoup des gens qui devancent l’avenir dans les histoires du passé.

571. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXVII. Des éloges en Italie, en Espagne, en Angleterre, en Allemagne, en Russie. »

Ce sont de grandes familles dépossédées, ou des gens qui ont la prétention d’en être, et qui ont gardé les armes de leur maison. […] Dans une académie célèbre d’Allemagne, on a aussi établi l’usage des éloges pour les gens de lettres et les savants. […] On a vu dans la même académie quelques éloges de savants et de gens de lettres composés par le souverain.

572. (1900) Molière pp. -283

Peut-être y a-t-il bien des gens parmi vous, messieurs, qui ont habité pendant tout un hiver une petite ville de province peuplée de quinze à dix-huit mille âmes ! […] Assurément ces auteurs de l’ancienne France étaient gens bien singuliers ; si on les pillait pour faire mieux, ils disaient : tant mieux ! […] Il est probable qu’à ce premier trait, certaines gens commencèrent à dresser l’oreille. […] On lie, à force de grimaces, une société étroite avec tous les gens du parti. […] Il a le don de plaire : cela n’est que trop sûr au gré de beaucoup de gens.

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