/ 2934
1746. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « M. de Fontanes »

Il devançait dans sa chaire et préparait honorablement la critique littéraire renouvelée, que le Génie du Christianisme devait bientôt illustrer et propager avec gloire. […] Il me semble que Rome, dont vous prétendez ressusciter le génie, avait des maximes toutes contraires. […] Dès la fin de son premier extrait sur le livre de madame de Staël, Fontanes y opposait et citait quelques fragments du Génie du Christianisme, non encore publiés, et que son ami lui avait adressés de Londres. […] Je trouve quelques renseignements bien précis sur ce moment littéraire décisif où parut le Génie du Christianisme. […] L’auteur du Télémaque et Massillon prêchaient éloquemment ce qu’elle était obligée de taire devant le Génie des conquêtes, impatient de tout perdre et de se perdre lui-même dans l’excès de sa propre ambition.

1747. (1898) Ceux qu’on lit : 1896 pp. 3-361

À quelques pas, deux nobles romains, de ceux dont le nom, porté par un pontife de génie, reste associé aux plus illustres épisodes dans l’histoire de l’Église, poursuivaient une martingale désespérée. […] Je suis très gonflée d’avoir eu ce trait de génie au début des vacances. […] Nous ne sommes plus au grand siècle où l’on cherchait dans toutes les productions du génie cette fermeté et cette sobriété de caractère qui étaient l’expression de la raison parfaite. […] Heureusement, celui-ci profita de ce mode d’étude et devint vite un distingué officier du génie. […] « Le capitaine du génie Blanc, mon camarade, joignait aux talents et à la bravoure calme de l’officier du génie, l’audace et le mépris de la vie.

1748. (1823) Racine et Shakspeare « Préface » pp. 5-7

Les premiers essais de ce génie audacieux furent dans le genre vaporeux et fade des Lagrenée, des Fragonard et des Vanloo.

/ 2934