Mais, si vous lisez attentivement son Commentaire sur Corneille, qui est de 1764, vous serez frappés d’y voir l’auteur de l’Essai sur la poésie épique se ranger, dans ses vieux jours, à une critique, je ne veux pas dire plus étroite que celle de Boileau, mais à coup sûr pas plus large. […] Il me suffit qu’elle y soit, qu’elle ne pût pas manquer de frapper les esprits, et qu’elle fût d’ailleurs féconde en applications ultérieures.
Et en effet quand on prend, comme Condorcet, le progrès scientifique pour mesure du progrès, qui ne serait frappé de tout ce que nous savons aujourd’hui et qu’on ne savait pas autrefois ?
« L’homme du rocher d’Angoulême n’a pu encore arriver jusqu’à lui, pénétrer dans son Louvre ; mais déjà il le frappe d’une main mystérieuse. […] Consulat, pastels, société dix-huitième siècle. » Cela donnerait l’idée d’un luxe et d’une opulence magnifiques et que frappa la destinée.