C’étoit un Philosophe à la maniere des Anciens, c’est-à-dire, un homme détaché des biens de la fortune, ennemi de tout soin, isolé au milieu de la société, d’un caractere doux & aimable.
Nos projets, nos ambitions, notre fortune sont à sa merci. […] » Il est des scrupules qu’on ne se sent pousser qu’après fortune faite. […] Il y oublie, l’une après l’autre, sa dignité, sa position, sa fortune. […] La Fortune des Rougon. […] Zola, la Fortune des Rougon, préface.
Ils eurent du débit, & ne contribuerent pas peu à augmenter sa fortune.