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2674. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « La marquise de Créqui — I » pp. 432-453

Dans le Tacite traduit par d’Alembert, elle goûtait surtout les sentences. « S’il y a quelques maximes dignes de moi, envoyez-les, écrivait-elle à M. de Meilhan ; j’aime le genre, quoique très avili par la quantité d’ignares qui s’en mêlent. » Les ouvrages de ce dernier lui plaisent par le fond des sujets autant que par le tour.

2675. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Maine de Biran. Sa vie et ses pensées, publiées par M. Ernest Naville. » pp. 304-323

Il trouve sa liberté de vouloir absente ou insuffisante ; il ne trouve nulle part le repos, pas même en soi ; non seulement l’homme extérieur en lui contrarie l’homme intérieur, mais du fond de l’homme intérieur il sent ressortir des contradictions dont il n’est pas maître : « Quel sera le terme de ces contradictions ?

2676. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Journal et mémoires du marquis d’Argenson, publiés d’après les manuscrits de la Bibliothèque du Louvre pour la Société de l’histoire de France, par M. Rathery » pp. 238-259

L’original y apparaît dans son plein : le personnage s’y juge au fond.

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