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434. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 437-438

Nous devons tous deux nous connaître : S’il perd un fichu Serviteur, Ma foi je perds un fichu Maître.

435. (1908) Après le naturalisme

Aujourd’hui la science a vaincu la foi. […] Aucun des articles de la Foi ne peut plus être accepté. […] La raison s’oppose formellement à la foi et, entre elles, il n’est pas de compromis possible. […] La formation de la foi s’explique naturellement. […] Du moment où la foi s’explique, elle perd tout son merveilleux et cela à bas, il ne reste plus rien.

436. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXII » pp. 131-132

ma foi, c’est égal, c’est tout de même extraordinaire ; et (poursuivit-il en regardant le ciel), quoique Eugène Sue fasse fondre les cœurs, ce qu’on peut demander à Dieu, c’est qu’il envoie souvent des hommes pareils sur la terre. » — Dans le même article, on attribue à Lacordaire un calembour qui n’est pas de lui : « Les Mystères de Paris suent le crime », aurait-il dit.

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