Et cependant l’homme de sac et de corde espagnol, l’aventurier à la diable, avait quelque chose de commun avec le pur Sénéchal, et c’est la foi chrétienne, qu’il n’a jamais perdue !
Amédée Pommier eut les vertus chrétiennes, s’il n’eût pas la foi absolue du chrétien.
Fénelon, cet homme de foi et d’amour au xviie siècle, s’il avait senti passer sur lui les mauvais courants du xixe n’aurait peut-être été non plus qu’un sceptique, versant, de désespoir de n’être pas davantage, dans une espèce de fatalisme chrétien, comme Alfred de Vigny — il faut bien le dire, car le livre l’atteste, — y avait versé.