Henriette, qui finit par remplacer Charlotte dans le cœur du héros, petite personne de vingt-quatre ans, assez grasse et très-fraîche, a du charme ; la fragile Charlotte est drôle, et non pas sans agrément. […] » Et de ce ton de douairière du Marais qu’elle affectionne : « La manie de votre âge, dit-elle en terminant, est de vouloir faire entendre la raison aux hommes : l’expérience du mien enseigne qu’il est plus sûr de les y laisser revenir ; que le temps les ramène d’ordinaire à la raison et à la vérité ; mais que la raison et la vérité n’ont presque jamais convaincu personne. » Cet esprit si expérimenté et si sûr, qui débute par où d’autres sages finissent, patience ! […] Ainsi de celle dont nous parlons : elle commence du ton de Duclos, elle finira en se faisant lire Bossuet. […] Un jour, peu après son retour de Plombières, où elle avait en vain cherché quelque soulagement, comme la conversation, près d’elle, s’était engagée et roulait depuis quelque temps sur la question de savoir si l’individualité persiste après la mort ou si l’âme s’absorbe dans le grand Être, elle sortit de son abattement déjà extrême, et, d’une voix par degrés raffermie, résumant les diverses opinions, elle conclut avec vivacité et certitude pour la persistance de l’âme individuelle au sein de Dieu100 Le 1er août 1827, au terme de sa lente maladie, à dix heures du matin, elle pria son mari de lui faire quelque bonne lecture ; il lui lut une lettre de Fénelon pour une personne malade, et, l’ayant finie, il passa à un sermon de Bossuet sur l’immortalité de l’âme : pendant qu’il lisait, elle expira.
As-tu fini ? […] Un vieux conte finit ainsi ; mais qui leur a dit d’y faire allusion ? […] Le délicieux poème finit par une allusion patriotique et héroïque aux devoirs sévères que l’orage du continent et l’invasion française imposent à tous ceux qui peuvent porter les armes et sacrifier même la plus tendre épouse à la mort acceptée pour défendre son pays. […] Je l’avais tenté autrefois dans le poème des Pêcheurs, à moitié fini et perdu sans retour dans un voyage aux Pyrénées.
Là finit le livre, car la tyrannie populaire ou royale ne va pas plus loin ! […] Votre législation finit avec l’homme, la nôtre se perpétue et se divinise indéfiniment à travers les éternités. […] Les gouvernements n’ont été institués que pour défendre la propriété et l’hérédité des biens contre le pillage universel ou périodique, qui commence par des sophismes et qui finit par des jacqueries. […] Un second, un troisième partage finissent par réduire au prolétariat ou à l’indigence la famille.