Quand ils ont fini, ils se sentent, tout d’un coup, fermes, résolus et prêts. […] … Car vous pensez bien, mon cher, que je n’ai pas fini de légiférer, et que j’en ai encore dans le ventre — ah ! […] Et c’est fini du mauvais désir… C’est, tout à coup, l’apaisement, presque la joie. […] … Finis, morts, disparus ! […] Il ne tient plus qu’à lui de finir ses jours dans le repos et dans le bonheur.
Les moralistes du siècle qui va finir ont ceci de très particulier qu’ils se sont occupés tout autant de politique que de morale, et même un peu plus de celle-là que de celle-ci, et c’est pourquoi l’on pardonnera peut-être aux essais que voici d’être parfois des études politiques encore plus que des études morales. […] Après avoir longtemps contesté, les hommes finissent par reconnaître cette nécessité sociale, et par céder à chacun une part, plus ou moins généreusement mesurée, de liberté de penser, de croire, d’écrire, de vivre et de s’élever à leur guise. […] Le plaisant, c’est qu’on finit par lui envoyer son fils. […] Et, pour finir, dans cette ancienne constitution française Bonald voit la consultation nationale, les Etats généraux, qu’il n’aime guère, mais dans lesquels il aperçoit la ressource suprême dans les grands périls, l’État rassemblant toutes ses forces, forces en plein développement, forces en formation, pour se rendre compte de ses puissances déclarées ou latentes, et démêler de quel avenir il peut être gros. […] Elle finit par laisser entendre que cette loi du progrès ne s’applique bien exactement qu’à la littérature philosophique.
Fini, la foi ! fini, la règle ! fini, le respect, la superstition de ce qui est « convenable » ! […] On interroge la nourrice, qui finit par tout avouer. […] Ce combat ne finira apparemment qu’après le jugement dernier.