Et à la fin de la pièce, quoi de plus admirable que cet autre : V. […] On pourrait presque ajouter que l’illusion se prolonge jusqu’à la fin de cette charmante fable. […] La fin de cet Apologue est au-dessus de tout éloge, tout le monde le sait par cœur.
Un livre de récits qui se suivent n’est point un collier, quoique, même dans un collier, le fil qui passe à travers les perles doive être tout ensemble solide et fin… Ou M. […] Boccace, l’autre Boccace, c’est-à-dire le vrai, est, lui, l’imagination la plus italienne qui ait jamais existé parmi les plus fines imaginations d’Italie, ces rosés de l’Arno ! […] Tout cela est la défroque pittoresque et littéraire de l’Italie, haillons en poudre qu’une main distinguée ne touche plus et dédaignerait de remuer, mais sous lesquels l’œil fin aperçoit des réalités sociales et individuelles de l’intérêt le plus attachant et le plus vif, — comme celles-là, par exemple, que, dans sa Chartreuse, Beyle a su peindre avec génie, mais qu’il n’a pas épuisées.
… Et je serais, même là-haut, condamné à un ennui sans fin. […] — Quand il se laisse fendre, certainement, c’est-à-dire quand les fibres sont assez grosses, mais les fibres de l’érable sont trop fines et trop entremêlées. […] — Cette fine écorce de bouleau qui le couvre empêche de voir ; les extrémités sont libres, mais trop noircies par le temps. […] La fauvette à claquets ou la petite meunière se fait entendre chez nous dès la fin de mars, quinze jours plus tard viennent la fauvette à tête noire, le moine ; puis, environ une semaine après, le rossignol, et seulement à la fin d’avril ou au commencement de mai, la fauvette grise. Tous ces oiseaux avec leurs petits de la première couvée muent chez nous en août ; aussi on prend ici, à la fin d’août, de jeunes moines qui ont déjà leur petite tête noire.