» — « C’est un grand vice d’être avare et de prêter à usure ; mais n’en est-ce pas un plus grand à un fils de voler son père et de lui manquer de respect ? […] Et la pièce où l’on fait aimer le fils insolent n’est-elle pas une école de mauvaises mœurs ? […] Il ne pense point à profiter de toute sa succession, ni à s’attirer une donation générale de tous ses biens, s’il s’agit surtout de les enlever à un fils, le légitime héritier. […] », l’incrédulité d’Orgon au rapport de son fils, la malédiction qu’il donne à ce fils, son projet de donner sa fille à Tartuffe et sa dureté à l’égard de sa fille ne doivent point du tout étonner. […] Il est fils, probablement ; d’homme riche et il a fait certainement un mariage riche » De là son train qui est considérable.
Mais écoutez : je ne suis pas l’un de vous, je suis le fils du gardien de la prison. […] bien, seigneur fils, où en es-tu de ton héritage ? […] Les mères s’aiment dans leurs fils. […] Son fils Richard, son petit-fils Eustace suivirent son exemple. […] « Mon fils, lui dit-il aux dernières lignes de son journal, je t’impose là une charge très lourde.
Déshéritez votre fils, instituez Volpone héritier, et envoyez-lui votre testament. — Oui, j’y avais pensé. — Cela sera d’un effet souverain. Déshériter un fils si brave, d’un si grand mérite ! […] Corbaccio désavoue son fils, l’accuse de parricide. […] N’êtes-vous pas celui qui aujourd’hui, devant le tribunal, A déclaré qu’il déshéritait son fils ; Celui qui s’est parjuré ? […] » « Misérables, crie Morose, assassins, fils du diable et traîtres, que faites-vous ici ?