Vacquerie a écrit le Fils. […] Dumas fils. […] Dumas fils. […] Son fils ? […] … Parle, mon fils, dis tout.
« Il songea à ce haut amour, le fils de Sigelint. […] Qui donc a pu tuer avec tant de barbarie ton époux, mon fils, chez des amis si dévoués ? […] Il voulait venger la mort de son fils, ainsi que le lui commandait son honneur. […] Il distribua tout ce que le fils de Botelung lui avait donné. […] Pendant ce temps, la reine enfanta un fils ; jamais le roi Etzel n’eut plus grande joie.
Le Dieu de l’Écriture se repent, il est jaloux, il aime, il hait ; sa colère monte comme un tourbillon : le Fils de l’Homme a pitié de nos souffrances ; la Vierge, les saints et les anges sont émus par le spectacle de nos misères ; en général, le Paradis est beaucoup plus occupé des hommes que l’Olympe. […] Satan, s’apprêtant à combattre Michel dans le paradis terrestre, est superbe ; le Dieu des armées, marchant dans une nuée obscure à la tête des légions fidèles, n’est pas une petite image ; le glaive exterminateur, se dévoilant tout à coup aux yeux de l’impie, frappe d’étonnement et de terreur ; les saintes milices du ciel, sapant les fondements de Jérusalem, font presque un aussi grand effet que les dieux ennemis de Troie, assiégeant le palais de Priam ; enfin il n’est rien de plus sublime dans Homère, que le combat d’Emmanuel contre les mauvais anges dans Milton, quand, les précipitant au fond de l’abîme, le Fils de l’Homme retient à moitié sa foudre, de peur de les anéantir.