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1027. (1892) Un Hollandais à Paris en 1891 pp. -305

Ce chantre terrible des filles, des souteneurs et des voleurs a émerveillé le philologue d’Hilversum, comme il a depuis étonné M.  […] C’est la sève débordante de la jeunesse, qui veut communiquer son trop plein d’ardeur à la sagesse, fille de la tristesse et de l’impuissance. […] Il a pénétré dans ce monde de souteneurs et de filles et s’est pris à l’aimer pour son propre compte. […] Ce n’était plus un faune ; il était devenu semblable aux autres hommes : une jolie fille l’avait ensorcelé. […] La femme, craignant un malheur, cherche à les séparer, mais en s’approchant du vieux, elle se fait reconnaître par lui et il retrouve en elle la fille pour qui il a commis le crime qui l’a conduit en Nouvelle-Calédonie.

1028. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre second » pp. 200-409

Discours du père à sa fille. […] Les livres de Crémutius furent condamnés au feu ; sa fille les conserva. […] Après Aréus, c’est Cordus qui parle à sa fille. […] XII.) « Le sage n’entrera pas en colère, si l’on égorge son père, si l’on enlève sa femme, si l’on viole sa fille sous ses yeux ? […] Serrez entre vos bras Novatilla… Songez à votre père : tant que votre père vivra, ce serait un crime à sa fille de croire qu’elle a trop vécu… Je ne vous parlais pas de votre sœur.

1029. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « AUGUSTE BARBIER, Il Pianto, poëme, 2e édition » pp. 235-242

Les vers sont exquis et mélodieux : le sentiment d’où ils découlent ressemble à cette exclusive prédilection dont les mères jalouses environnent une fille nubile et chérie.

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