Il est certes des natures merveilleusement douées en naissant, des êtres (surtout femmes) revêtus de dons singuliers, d’aspirations pures, tendres, poétiques, idéales, et qui semblent vouloir glisser, s’élever au-dessus de la terre : ici, chez Sibylle, cette faculté éthérée, cette tendance au sublime est jointe à une fermeté de volonté qui devient le trait caractéristique et qui, dans plus d’un cas, ira jusqu’à la dureté.
Auguste Widal, professeur à la Faculté de Douai (seconde édition, chez Hachette), un livre intéressant, d’une bonne et agréable critique, assez ample et abondante, mais pas assez décisive sur certains points : et, par exemple, l’auteur cite à un endroit M.
Viollet-Le-Duc eut de bonne heure une organisation très déliée et très vibrante aux diverses expressions de l’art, une faculté de transposition d’un art et d’un sens à l’autre.