Pas un journal de nos jours n’accepterait un feuilleton de la longueur de ceux que donnait Sainte-Beuve, et on lui demanderait en outre d’être moins pesant, plus « récréatif », plus facile à parcourir en quelques minutes. […] « Pas un journal de nos jours », écrit Mlle Henriette Charasson, « n’accepterait un feuilleton de la longueur de ceux que donnait Sainte-Beuve, et on lui demanderait en outre d’être moins pesant, plus “récréatif”, plus facile à parcourir en quelques minutes. » Un directeur disait à M.
» sitôt qu’on lui dira : « C’est ta faute. » Rien dans ma position ne m’est plus facile à admettre que cela. […] Il me fut facile, en sortant de Stanislas, de renouer une des négociations que avais rompues pour y entrer, et de suivre mon plan primitif qui était simplement de prendre dans Paris une chambre d’étudiant.
J’ai cru qu’il était facile de me deviner et de lire dans mes regards que celui qui vous voit et vous entend n’est point amoureux d’une autre. […] A-t-il passé en Suisse comme on le dit, et comme cela lui était si facile à cette frontière ?