Même à travers la mort sa beauté touchait l’âme… Elle lit dans le Livre de Lazare, de Henri Heine, les navrantes Réminiscences : « Ce sont surtout les larmes de la petite Juliette qui me brûlent le cœur… » dans Sully-Prudhomme, les idéales strophes des Vaines Tendresses : Il leur faut une amie à s’attendrir facile… Derrière les pages vaguement teintées du petit livre, devine-t-elle, comme M.
Balzac n’a point la fougue, l’inspiration subite et heureuse, la divination facile et abondante du vrai et du beau. […] Toute son envie est de saisir agilement une notion nette, de circulation facile, qui puisse se traduire du premier coup en une autre, et celle-ci de même, de façon que toutes forment une échelle suivie, où nul barreau ne manque ou ne casse, et qu’on puisse gravir ou descendre tout entière en un instant.
Je souhaite pour ce grand homme qu’il soit plus facile à comprendre en allemand que ses adorateurs ne le sont en Français.