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511. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « La Religieuse de Toulouse, par M. Jules Janin. (2 vol. in-8º.) » pp. 103-120

On va en juger par la courte narration que j’essaierai de faire, et dans laquelle je résumerai ce qu’on sait de précis sur l’histoire de cette congrégation. […] Les religieux, et particulièrement les Jésuites, qui se voyaient exclus de la direction de cet établissement, et qui n’y avaient aucun accès, essayèrent de le ruiner à diverses reprises.

512. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Qu’est-ce qu’un classique ? » pp. 38-55

Un homme d’esprit me la propose aujourd’hui, et je veux essayer sinon de la résoudre, du moins de l’examiner et de l’agiter devant nos lecteurs, ne fût-ce que pour les engager eux-mêmes à y répondre et pour éclaircir là-dessus, si je puis, leur idée et la mienne. […] On n’a plus le temps d’essayer ni l’envie de sortir à la découverte.

513. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Les Gaietés champêtres, par M. Jules Janin. » pp. 23-39

J’essaierai pourtant de donner idée de ce récit souvent interrompu, dont l’inspiration dans les meilleures parties me paraît être de faire sentir tout ce qu’il y a de frais, de léger, de fugitif et d’oublieux dans la jeunesse. […] Dans la seconde partie de son roman, l’auteur essayera d’attribuer la conduite légère de sa Louise à la philosophie du siècle, à cet esprit de débauche, autorisé par Louis XV, soufflé par Voltaire, propagé par tant d’autres.

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