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1667. (1892) Sur Goethe : études critiques de littérature allemande

Et précisément parce qu’il a écrit Werther dans l’âge des passions, et dans l’âge des systèmes le Faust, la vérité simple, quand elle est naïvement célébrée par ce génie que l’on proclamait de toutes parts le génie du doute et de l’erreur, resplendit en ses écrits d’une clarté plus triomphante. […] En face d’un livre non signé, on n’a plus devant soi un misérable écrivain, sujet aux erreurs de l’humanité, qui se hausse sur un piédestal et y trébuche. […] L’intérêt supérieur du livre réside uniquement dans l’espèce de lutte morale qui s’établit et se poursuivit peu à peu entre le professeur Robert Schærtel, l’un des plus déterminés champions de la doctrine nouvelle, et sa femme Élisabeth, qui l’aime d’abord avec passion, mais qui déteste ses erreurs, qui se cramponne avec une ardeur fébrile au christianisme, prêt à lui échapper, fait des efforts surhumains pour rester fidèle tout ensemble à son mari et à son Dieu, et vaincue par des sophismes répétés, par le doute, par les tentations de la vie, par d’horribles catastrophes, perd son amour pour l’un, en même temps que sa foi en l’autre.

1668. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIVe entretien. Alfred de Vigny (1re partie) » pp. 225-319

. — Devais-je avertir les enfants de l’erreur légère de leur mère ?

1669. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

Je suis intimement persuadé que Chardin répète ici la même erreur que j’ai déjà relevée, et confond la langue et l’écriture qofthes ou égyptiennes modernes avec l’écriture kufyque, dont les Arabes se servaient autrefois.

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