L’homme en est le cachet, la bête en est le bagne, L’arbre en est la prison, la pierre en est l’enfer… Et ici nous entrons, avec le grand songeur, dans les métamorphoses d’Ovide sans Ovide, cet autre exilé qui resta, lui, spirituel, charmant, touchant et surtout latin, dans son exil ! […] J’irai lire la grande Bible, J’entrerai nu Tant pis ! […] il y est parfaitement entré, et jusqu’au fond !
Inutile d’entrer dans le détail. […] Pour la reconstituer, un effort d’un genre tout particulier est nécessaire, par lequel on soulèvera la croûte extérieure de jugements bien tassés et d’idées solidement assises, pour regarder couler tout au fond de soi-même, ainsi qu’une nappe d’eau souterraine, une certaine continuité fluide d’images qui entrent les unes dans les autres. […] Sans entrer dans le détail des variations exécutées sur ce thème, citons deux ou trois textes où le thème lui-même est défini dans toute sa simplicité : « On n’est obligé qu’à traiter les gens dans les formes », dit Diaforius dans le Malade imaginaire.
Il entra en lutte avec Ysabeau, mais ce ne fut qu’après s’être gagné la plupart des partisans que comptait celui-ci. […] que ma mère fut belle, quand nous entrâmes dans l’église, qu’elle tomba à genoux aux pieds de l’Homme-Dieu ! […] Petit bonhomme déjà entré dans la vie de ce monde, prenant part à ses conversations, écoutant ses confessions, et témoin de ses débats d’affaires et de toutes sortes. […] le gredin a dû revenir de nuit pour entrer dans la maison comme un loup et déshonorer son maître, Nouvelet ! […] Sérafin Balduque n’était point de ceux qui cachent leur vie : à dix-sept ans, il était entré au service de l’État, grâce à l’influence d’un gros personnage.