le triste empire des lettres, pour manquer d’empereur reconnu et de princes, n’est point davantage une république !
Ces maximes-là ont l’inconvénient de ne pas nuire à l’établissement des empires.
Suivant les uns, cette révolution doit se terminer par une organisation nouvelle de la société sous l’empire d’un gouvernement populaire énergique et concentré : c’est l’union du principe démocratique et du principe saint-simonien ; suivant les autres, le gouvernement doit seulement servir à faire la révolution et à détruire la tyrannie du capital, comme Richelieu a détruit la tyrannie de la noblesse.