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2144. (1856) Articles du Figaro (1855-1856) pp. 2-6

Ce qui n’empêche pas M. 

2145. (1861) Questions d’art et de morale pp. 1-449

L’art poétique est au poète ce que les rails sont à la locomotive ; ils l’empêchent sans doute de s’emporter à travers champs ; ils effacent certaines aspérités de la route ; mais le principe du mouvement, c’est la flamme intérieure, c’est l’expansion de l’idée bouillonnante ; voilà la force irrésistible, et qui se fait partout un chemin à défaut de chemin frayé. […] Cette servitude était nécessaire pour empêcher de tomber encore plus bas et jusqu’à la pure animalité des hommes dont la liberté morale ne savait plus résister aux bas instincts.

2146. (1836) Portraits littéraires. Tome II pp. 1-523

Par un merveilleux instinct, il comprend que la pauvre fille ne demande qu’à se livrer, mais qu’elle attend, pour ouvrir les portes, une première sommation : aussi les contretemps ne l’effraient pas, il poursuit, sans impatience et sans dépit, le but qu’il a marqué ; les obstacles, au lieu d’abattre ses forces, ne font que les doubler ; il a résolu de posséder Agnès, il la possédera ; les mains jalouses qui les séparent seront impuissantes à empêcher leur réunion. […] Villemain de son adresse malicieuse et de sa politesse ironique, je ne puis m’empêcher d’appeler l’attention sur la comédie jouée jeudi dernier à l’Institut. […] Que don Juan tue le confesseur de son père pour empêcher que la naissance de don José ne soit légitimée par la main du moribond, qu’il ordonne à ses valets de dépouiller et de battre don José, qu’il séduise et enlève la maîtresse de son frère, je le veux bien.

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