C’était une femme, les bras noués autour du cou d’un homme qui la portait avec effort sur son dos… Et il nous entretient de ses chasses d’autrefois à la femme, chasses à l’inconnu, dont le grand charme est l’aléatoire, l’aléatoire qui, dit-il, « fait le pêcheur à la ligne, le joueur, le coureur de femmes ».
L’effort sans doute est immense, la patience infinie, et, malgré la critique que j’en fais, le talent rare ; mais dans ce livre, point de ces illuminations, point de ces révélations par analogie qui font retrouver un morceau de l’âme d’une nation qui n’est plus.
Aussi est-ce du fond du cœur qu’il adhère aux vœux et aux efforts des hommes généreux de toutes les nations qui travaillent depuis plusieurs années à jeter bas l’arbre patibulaire, le seul arbre que les révolutions ne déracinent pas.