Ce rythme dure l’espace de douze strophes, ce qui détruit l’effet en l’épuisant. […] … » C’est ainsi que d’une idée toute simple le poète a tiré de magnifiques effets. […] J’ai éprouvé cet effet à la première lecture de certaines pièces étincelantes. […] Ne savez-vous rien de ses effets sur les intelligences ? […] Que dirai-je des effets de cette littérature sur les âmes ?
Elle fait son effet encore et il convient de dire que M. […] L’effet a été très grand. […] C’était en 1822. 1822 est une époque qui nous fait l’effet d’être étrange. […] Mais la littérature bonapartiste est cause et effet. […] » ne paraît plus épouvantable du tout et ne fait aucun effet.
Cette origine, c’est le latin ; cette division en dialectes est un effet de la féodalité, qui avait constitué, sur le sol français, des nations distinctes, parlant un langage différent. […] Cinq années de séjour en Orient, des souffrances de tout genre, la peste, la faim et la soif, la maladie, soit par l’effet du climat, soit par suite de blessures, la captivité, tant de courage perdu, tous les devoirs de croisé remplis avec un dévouement d’autant plus méritoire que l’enthousiasme était médiocre y avaient guéri Joinville du désir de recommencer la croisade. […] Il n’y a pas place pour la critique là où il n’y a pas un historien qui recherche à la fois le vraisemblable et le vrai ; qui non-seulement raconte les événements, mais qui les explique ; qui pénètre les causes et prévoit les effets ; qui raisonne sur les intérêts des peuples, sur les caractères sur les mœurs ; qui discerne le bien du mal, et qui approuve ou blâme ; qui, pour tout dire, sent en homme de cœur, examine en philosophe et décidé en juge. […] Je vois, dans Comines, des causes et des effets, les passions et leurs conséquences, les desseins secrets sous les apparences publiques, moins de costumes que dans Froissart ; mais plus d’hommes ; je vois quels sont les mobiles politiques de l’époque, semblables à ceux de toutes les époques ; je vois pourquoi certains desseins échouent, et pourquoi d’autres réussissent ; lequel eût le mieux valu, dans certaines affaires, du courage ou de la prudence. […] L’un emprunte ses images et ses couleurs aux spectacles qu’il décrit ; et lors même qu’il veut peindre les douleurs morales, il s’attache plus à en faire voir la pantomime qu’à en analyser les effets intérieurs.